Il est un domaine très vaste de la médecine qui touche beaucoup de personnes, qui nécessite beaucoup de traitements et dont nos études ne parlent que très peu ou du moins pas des causes, c’est l’endocrinologie.
Le diabète, les maladies de la glande thyroïde sont extrêmement fréquents et génèrent énormément de traitements.
Malgré cela, l’étiologie, l’origine de ces maladies n’est pratiquement jamais recherchée.
En général, ces affections sont des maladies auto-immunes dont nous avons déjà vu qu’elles n’étaient que la conséquence d’un système immunitaire affaibli qui hyperréagissait.
Il est intéressant de constater que si l’on recherche les causes de cet affaiblissement on retrouve fréquemment des chocs affectifs, des vaccins ou des pollutions.
Relativement récemment, une affaire a défrayé la chronique et a fait les gros titres des médias.
C’est ce que l’on a appelé « le scandale du Lévothyrox ».
En 2018, le Dr. Nicolas Bouvier a porté plainte contre le laboratoire Merck pour « tromperie aggravée » suite à la mise sur le marché de la nouvelle formule du Lévothyrox.
Ce médecin, rattaché pendant dix ans au service de pharmacologie et de toxicologie de Reims a constaté que plus de la moitié de ses patients sous Lévothyrox tombaient gravement malades et a estimé que le laboratoire était responsable de ce désastre qui a touché plus de 30'000 personnes en France.
Les symptômes évoqués par les patients concernés sont de l’hypertension, une grande fatigue, une perte d’appétit, de la fièvre, des douleurs musculaires, des cheveux qui tombent etc.
Ces symptômes font penser à ceux d’une intoxication ou d’une pollution.
C’est probablement pour cela que le Dr. Bouvier m’avait adressé plusieurs de ses patients dans le but de rechercher des métaux lourds dans les tissus de ces patients.
Les tests et les examens faits dans les urines, après chelation, par le laboratoire Micro Trace, ont montré la présence de mercure d’une façon anormale.
Il n’est malheureusement pas possible d’affirmer si ce mercure provenait du traitement.
L’enquête est toujours en cours
Mais, ce que l’on peut dire, c’est que lorsque un médecin prescrit un médicament il ne sait pas toujours exactement ce qu’il contient.
À ce propos, me revient en mémoire une anecdote « amusante » !
Durant mes études, un professeur de Pharmacologie, qui devait bien connaître les médicaments, avait pour habitude de dire :
« Lorsque un médecin prescrit un médicament, il ne sait pas très bien ce qu’il fait, sachant que nous sommes tous différents et que, par conséquent les réactions à ce produit, peuvent être paradoxales.
Si ce même médecin prescrit deux médicaments, vu les interactions médicamenteuses, il sait encore moins ce qu’il fait.
Et, enfin, si ce médecin, prescrit trois médicaments, alors, disait-il, il faut soigner le médecin…! »
Cette anecdote, met bien en lumière, les doutes qui animaient déjà, ce professeur de pharmacologie, il y a plus d’un demi-siècle.
Parmi ces atteintes du système endocrinien il en est une dont très peu de gens parlent.
C’est la destruction de la glande pinéale.
Dans un exposé intitulé « l’attaque de la glande pinéale », le Dr. Dietrich Klinghard du Sofia Health Institute décrit en détail cette problématique et l’effet « cocktail » de plusieurs types de pollution qui, en synergie vont participer au dommage de cette glande.
La glande pinéale est la partie la plus sensible de notre système nerveux central.
Les éléments qui ont le plus d’effets délétères sur elle sont, l’aluminium, le glyphosate dont nous avons parlé précédemment, le fluor et les ondes électromagnétiques, la WIFI et la 5G.
La glande pinéale est le centre de la conscience psychique.
Elle n’est pas plus grosse qu’un pois et se situe derrière la glande pituitaire, c’est le chakra n°6 que l’on appelle souvent le « troisième oeil ».
C’est une petite poche remplie d’un liquide contenant des cristaux piézo-luminescents.
Ce que l’on constate, de plus en plus, de nos jours, en particulier par les IRM, c’est une calcification de cette glande par les différents types de pollution sus-mentionnés.
Cette calcification, cette destruction partielle de la glande pinéale, peut entraîner de la dépression, de l’anxiété, de la boulimie ou de l’anorexie, de la stérilité, de l’insomnie, par une perturbation de la sécrétion de mélatonine, sécrétée par cette glande et, enfin, une baisse du système immunitaire.
Le principal polluant de la glande pinéale est le fluorure qui circule dans notre sang.
Les fluorures viennent des dentifrices, de l’eau du robinet et des médicaments psychotropes.
Le Prozac, un des médicaments antidépresseurs le plus prescrit au monde, également nommé Fluoxetine contient 30% de fluor.
Ce médicament énormément consommé, a partcipé à la pollution de la planète par l’élimination du principe actif fluoré dans les urines et par conséquent dans les eaux de la planète exactement comme la « pilule », par le même principe, a œstrogénéisé le monde avec les conséquences que l’on sait, diminution de la spermatogénèse, qui a baissé de 50%, etc.
Depuis la dernière guerre, la recherche a mis en évidence que l’ingestion de fluor, fusse-t-elle infinitésimale, réduisait la capacité des hommes à résister à la domination.
La première fois que l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie.
Selon les chimistes, le mélange d’eau et de fluorure de sodium est le produit le plus efficace et le moins coûteux pour tuer les rats.
Inodore, incolore, insipide, comme l’eau, il n’a pas d’antidote, pas de remède et aboutit à une extermination complète et sans espoir des rats.
Parmi les autres polluants de la glande pinéale, dont je n’ai pas encore fait mention, citons les ondes électromagnétiques.
Depuis le développement ahurrissant des appareils électromagnétiques, téléphones portables, il y a plus de téléphones portables que de brosses à dents dans le monde, consoles de jeux pour les enfants, on remarque une fébrilité, une hyperactivité, des troubles du sommeil chez les jeunes, absolument remarquables.
Sans être un spécialiste en la matière, il semble évident que nous sommes influencés par toutes ces ondes.
Combien de fois ai-je simplement recommandé à des patients souffrant de troubles du sommeil, d’éteindre leurs appareils électroniques ou la Wifi durant la nuit et que ce simple conseil a beaucoup amélioré leur problème.
Pour mémoire, nous sommes composés d’atomes et les physiciens nous rapellent que dans un atome, il y a 99,99 % de vide.
Nous ne sommes que du vide dans lequel circulent des électrons, de l’énergie, des couleurs, de la lumière, nous sommes un émetteur-récepteur.
Et, dans ces conditions, comment ne serions -ous pas influencés par les champs électromagnétiques qui nous entourent.
Les animaux, eux, n’aiment pas ces champs électro-magnétiques.
J’ai le souvenir d’un patient qui possédait un chalet duquel il pouvait observer, avec ses jumelles, des chevreuils ou parfois des sangliers qui venaient se prélasser dans une clairière, située en dessous du dit chalet.
Il m’a fait part que, du moment où les services de télécommunication ont installé une antenne dans cette clairière, tous les animaux observés et admirés de longue date, ont disparu.
Un article très récent qui date de septembre 2020, publié par l’Association Allemande pour la Conservation de la Nature (NABU), révelle que 190 études menées par cette dernière en collaboration avec deux ONG allemande et luxembourgeoise mettent en évidence que l’exposition croissante aux rayonnements électromagnétique, « a probablement une influence sur le monde des insectes ».
Quelques 60% des études montrent des effets négatifs sur les abeilles, les guêpes et les mouches.
Le rayonnement des téléphones portables provoqueraient chez les insectes, l’ouvertures des canaux calciques des cellules ce qui va générer une introduction importante de ions calciques dans l’organisme.
Ce phénomène va déclencher un stress cellulaire, une altération du sens de l’orientation, une perturbation du rythme nyctéméral et une baisse du système immunitaire.
Des études menées en Grèce montrent également que le rayonnement des téléphones portables est nettement plus nocif que le champ magnétique d’une ligne électrique à haute tension.
La masse des arthropodes a diminué en dix ans de 67% dans les prairies et de 41% dans les forets selon une étude allemande publiée en 2019 dans la revue « Nature ».
La NASA sait, depuis plus de trente ans que les ondes électromagnétiques peuvent nuire à la santé.
Une étude, commandée par la NASA, a été publiée en 1981 par Jeremy K. Raines.
Son auteur, ingénieur, a consulté toutes les études scientifiques sur les interactions entre le corps humain et les rayonnements non ionisants.
Parmi les effets recensés, J.K. Raines relève des maux de tête, de la fatigue, des perturbations du sommeil, une irritabilité, des douleurs musculaires, des difficultés à respirer, des perturbations du système endocrinien, un épuisement du système nerveux.
Ce spécialiste a même signalé des cas où les ondes auraient favorisé le développement de cancers.
Pour corroborer ce fait, une équipe de chercheurs de l’ISPED, Institut de Santé Publique, d’Épidémiologie et de Développement de Bordeaux, a fait une étude, en 2014 sur l’utilisation répétée du téléphone portable.
Les résultats sont édifiants.
Ceux qui ont l’habitude de passer plus de trente minutes par jour au téléphone ont 4 fois plus de risques de déveloper une tumeur maligne du cerveau.
Même s’il est difficile d’établir un seuil critique à partir duquel le risque augmente, je pense qu’il est vraiment indispensable de limiter l’utilisation des téléphones portables et plus particulièrement chez les enfants.